Le don de la communication intuitive

Publié le 01 juin 2020

On me pose souvent cette question: est-ce que j’ai un don? Sans équivoque, la réponse est oui. Pour tous et chacun. Personne ne fut laissé pour compte dans la distribution des dons intuitifs. Insinué que certains sont dépourvus du don de la communication intuitive serait comme laissé entendre qu’il y a sur terre, une classe d’élus, différents et choyés. Que ceux-là ont accès à leurs guides, leurs alliés de l’autre côté du voile alors que les autres n’ont pas cette possibilité. Quelle triste idée!

Heureusement, c’est bien loin de la réalité. La communication avec notre équipe est belle et bien possible pour tous mais cela prend un minimum d’engagement. Nous avons appris à parler, à marcher et à faire de la bicyclette, il en est de même pour la communication intuitive. C’est quelque chose qui s’apprend. Faut s’engager dans cette voie en y accordant du temps, de l’ouverture, et accepter d’avoir du plaisir dans le processus. Se faire confiance et aussi, identifier ses peurs.

C’est pour cette raison que les signes de l’au-delà sont bien utiles. Quand on les accepte, qu’on les attend et les reçoit avec bonheur, on ouvre la porte à une expérience lumineuse. Pour que cette expérience soit positive, nos guides choisissent au début des messages subtils. Ils nous apprivoisent, établissent avec nous un langage commun. Puis, ils attendent patiemment qu’on s’y mette. Ils attendent la communication véritable, dans les deux sens, avec questions et réponses.

Les plus gros obstacles sont notre manque de confiance en nos capacités psychiques et la régularité du temps qu’on peut consacrer à développer cette belle communication de l’âme. Il faut savoir que nos guides suivent notre rythme, qu’ils n’ont aucun jugement ou impatience à notre égard. Si nous pouvions nous aimer soi-même comme ils nous aiment, nous serions tous comblés et en paix.

Écoutez avec son âme devrait être aussi naturel que respirer. L’air du temps actuel nous apporte cette ouverture de conscience. Travailler avec notre essence divine, la nourrir et l’accepter devient partie prenante d’une quête du bonheur. Nous sommes entourés en permanence d’une équipe d’êtres de lumière qui souhaitent participer à celle-ci. Il serait bien dommage de se priver de leur aide. Leur accorder du temps, c’est aussi s’accorder du temps à soi. C’est, j’en suis convaincue, une idée gagnante.